
Des voitures incendiées, des ventes en berne, un cours de Bourse qui chute, Tesla va mal. La faute au patron de la marque ? Ou au partenaire de Donald Trump ? Et au fait, Tesla va-t-il si mal ?
Des voitures incendiées, des ventes en berne, un cours de Bourse qui chute, Tesla va mal. La faute au patron de la marque ? Ou au partenaire de Donald Trump ? Et au fait, Tesla va-t-il si mal ?
Depuis le début de l'année, l'écrivain se sent investi d'une mission : défendre la veuve, l'orphelin et les gueux contre les méchantes ZFE. Mais son combat n'est-il pas un peu fantasmé ?
Puisque la saison est au cessez-le-feu et au plan de paix, pourquoi ne pas mettre fin à la guerre larvée qui, dans notre pays, oppose autophobes et automobilistes ? Voici mon plan de paix en trois parties.
Le 7 mars prochain, l'usine des anneaux de Forest, dans la banlieue de la capitale belge, va fermer ses portes, entraînant au passage la mise au chômage de 3 000 salariés. Une catastrophe symptomatique des errements stratégiques de la marque, et au-delà, d'une bonne partie de l'industrie automobile.
Quand le patron de Tesla se met au service d’un président des États-Unis d’Amérique climatosceptique et hostile à la voiture électrique, faut-il encore croire à l’avenir de la watture ?
Tandis que le marché de la voiture neuve patine, celui de l’occasion se porte bien, d’autant que ses prix baissent enfin. C’est la crise, mais il faut bien rouler…
Du 5 au 9 février, à la Porte de Versailles, les anciennes donnent rendez-vous à plus de 100 000 visiteurs. Mais qu'est ce qui explique l'engouement de plus en plus important pour cette manifestation ? La nostalgie d'un temps pourtant loin d'être parfait, mais auquel on a tout pardonné. Du coup, les autos exposées sont les peluches de l'enfance que l'on refuse d'oublier.
Faut-il se convertir à la voiture électrique quand Donald Trump nous promet du pétrole moins cher ? L’Europe peut-elle, seule, lutter contre le réchauffement climatique ? C’est la question qui se pose mais, espérons-le, seulement pour quatre ans…
Moins de deux mois après son départ, la politique de gouvernance de Stellantis a tellement changé que l'on en vient à oublier celui qui, pendant des années, était au centre des débats automobilico-économiques.
Faut-il moraliser nos achats automobiles ? D’abord, le peut-on ? Faut-il s’interdire d’acheter chinois ? Par patriotisme ou par éthique ? Et jusqu’où la Chine va-t-elle se nicher sous nos capots ?
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