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Commentaires - Et si Alfa Romeo devenait le ticket gagnant de Stellantis ?

Michel Holtz

Et si Alfa Romeo devenait le ticket gagnant de Stellantis ?

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Par

on peut en lire des inepties sur ce site !

La Junior, voiture miracle !!

juste une Peugeot 2008 recarrossée et au moteur Puretech

Par

Quand on commence à s'intéresser de près à ce que ces nouvelles Alfa embarquent, en terme de motorisation, ça ne fait tout de même plus trop rêver.

Mais chez Alfa, c'est comme chez Mazda, ils ont le chic pour faire des caisses au joli design.

Et comme le design est l'un des deux critères d'achat principaux (avec le prix), forcément, ça aide, pour les ventes. :jap:

Par

"La marque ne plie pas, et se met en mode « vous allez voir ce que vous allez voir" Du DS dans le texte...

Par

Alfa c'est juste pour tiré le prix vers le haut avec des plateformes bas de gamme

Par

esthétiquement, il est plutôt sympa ce junior. Dommage que les bases soient si mauvaise et les moteurs si peu fiables, sans compter la technologie à la ramasse...

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Par

Intéressante théorie !

Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.

Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.

+++++

Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.

Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?

PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).

Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.

Supprimer des marques chez Stellantis ?

Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.

Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.

++++++

Par

C'est encore un peu tôt pour parler de miracle. Car effectivement, +50% sur des volumes devenus très faibles, cela représente du mieux mais on ne pourra parler de reprise que si ce +50% de 2025 s'accompagne d'un pourcentage de hausse à encore +20% au moins en 2026. Mais effectivement, il vaut mieux avoir ces indicateurs que les indicateurs actuels de Ds.

Par

Il est tout excité notre Tonton Michel là... il a vu passer 2 Alfa ce lundi devant le café de son futur reportage ?

Une hirondelle ne fait pas le printemps... la preuve, il fait un temps à rester chez soi !

Par

Une Alfa c'est un style avec un moteur. Avec les modèles "Stellantisés" on a ni l'un, ni l'autre.

Par

En réponse à F18Hornet

Intéressante théorie !

Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.

Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.

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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.

Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?

PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).

Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.

Supprimer des marques chez Stellantis ?

Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.

Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.

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"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"

Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.

Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.

Par

La raison du succès du Junior (Et encore, succès, tout est relatif, son démarrage avait été moins bon que celui du Tonale) ? Un prix plus accessible pour une Alfa. Pour le reste,...

Par

En réponse à Critias

"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"

Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.

Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.

   

Est en difficulté

Par

Une base PSA, tu m'étonnes que ça se vend bien mieux.

Bravo stellantis

Par

Je précise que ça n'est pas mon cas, mais j'imagine que quitte à acheter une clown/copie/poupée russe de 2008, Mokka et autre, autant prendre celui qui a le plus de gueule ?

Par

En réponse à F18Hornet

Intéressante théorie !

Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.

Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.

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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.

Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?

PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).

Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.

Supprimer des marques chez Stellantis ?

Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.

Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.

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Je n'arrête pas de le marteler, les memes causes provoquent les memes conséquences que GM il y a 20 ans: dilution des moyens, sous investissement, scandales techniques, gestion de la qualité absente, pas de gestion de la satisfaction client, plan produit stupide avec concurrence interne, répartition mondiale trop centrée sur quelques marchés Européens ou Américains, retards technologiques criants.

Citroen, DS, Lancia ou Maserati sont bons pour la benne.

Opel, Maserati ou Alfa sont à peine "bankable" pour un rachat chinois sachant qu'il n'y a pas d'autres acheteurs: allemands en plein marasme, Ford et GM devenus mineurs, Japonais en pleine concentration et Coréen absolument pas dans la mouvance de multiplier les blasons à outrance (Genesis reste à consolider).

Le groupe est dans une spirale ou pour rassurer sur la qualité il va falloir proposer une rupture avec un investissement lourd: véritables nouveaux blocs (au moins 3! ), garanties natives longues sans surcout client.

Et réinjecter beaucoup de cash dans la partie américaine du groupe avec des gammes a rafraîchir et agrandir urgement (Dodge a peine 2 modèles), monoculture RAM, Chrysler en mort cérébrale et un Jeep centré sur deux modèles à peine (j'enlève les produits italiens aux USA en plein naufrage)

Et visiblement il y a deja un grave problème de management dans ce groupe...

Par

Ou alors, les fans d'Alfa Romeo attendaient une voiture plus petite et ils l'ont enfin eue même si c'est un SUV.

Au fait, 2020 était la dernière année de vente de la Giulietta donc j'ai bien l'impression que la raison que je mentionne est la bonne pour expliquer le regain des ventes.

Par

belle auto ce Junior, mais grosse daube au niveau fiabilité, les acheteurs sont-ils tous des boeufs ou bien achètent-ils en LDD - LOA et en ont rien à faire de la fiabilité à moyen terme?:brosse:

Par

La progression ne veut pas dire grand chose avec des chiffres de départ si bas. Ça ne sent pas bon pour alfa Romeo.

Par

En réponse à

Commentaire supprimé.

   

Il la rajoute à l'édifice!

Par

Et si ma tante en avait. Malheureusement c'est mon oncle. Vu le nombre de vente de cette marque actuellement, même si elle fait plus 20% rien de significatif.

Par

Une descente en gamme permet toujours d'améliorer les ventes rien de surprenant !

Par

En réponse à Lapierre

Une base PSA, tu m'étonnes que ça se vend bien mieux.

Bravo stellantis

   

Exactement, ce pourquoi DS décolle à fond avec ces bases Stellantis . Enfin , décolle :bien:!!!

Par

En réponse à ChatMallow

Il la rajoute à l'édifice!

   

C'est un multi-comptes base ETO .

Par

La bonne blague le nombre de fois où on nous a crié la renaissance de cette marque pour qu'elle reste à la marge mourante :blague:

Par

En réponse à Critias

Une Alfa c'est un style avec un moteur. Avec les modèles "Stellantisés" on a ni l'un, ni l'autre.

   

et on a pas la fiabilité non plus :chut:

Par

En réponse à gignac-31

et on a pas la fiabilité non plus :chut:

   

Ça changera pas les habitudes des clients :biggrin:

Par

Comment manipuler les chiffres, effectivement les pourcentages sont pas mal mais l'auteur ne donne pas les chiffres de vente car ils ne sont pas fameux, Alfa Romeo écoule environ 700 véhicules par mois en France!

Par

En réponse à F18Hornet

Intéressante théorie !

Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.

Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.

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Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.

Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?

PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).

Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.

Supprimer des marques chez Stellantis ?

Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.

Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.

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J'aime bien la propagande journalistique chauvine : "Stellantis est en difficulté depuis le départ de Tavares.".

Les gars, tout le monde sait que Stellantis est en difficulté À CAUSE de Tavares...

Par

En réponse à polo_wtcc

Comment manipuler les chiffres, effectivement les pourcentages sont pas mal mais l'auteur ne donne pas les chiffres de vente car ils ne sont pas fameux, Alfa Romeo écoule environ 700 véhicules par mois en France!

   

Le pire c'est qu'ils ont le kikitoudur car ils arrivent à vendre quelques Junior, mais s'ils avaient sorti une vraie descendante à la Giulietta ils en auraient vendu le double...

Je dis bien une vraie : moteur FCA et design du Centro Stile. Pas PureToc et design PSA-Playmobil...

Par

En réponse à Lapierre

Une base PSA, tu m'étonnes que ça se vend bien mieux.

Bravo stellantis

   

Ça se vend juste parce-que le Junior est sur un segment qui fait beaucoup de ventes, et que les gens sont ignorants.

Justement, chaque personne s'y connaissant fuit en entendant que c'est du PSA.

Par

En réponse à Critias

"Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?"

Rectification, Stellantis estceb difficulté A CAUSE de Tavares.

Concernant son remplacent, selon des sources italiennes, il serait désigné en interne. Et deux noms émergent : Antonio Filosa et Maxime Picat. Le premier aurait les faveurs d'Elkann, le second des Peugeot (logique). Wait and see.

   

Je n'avais même pas vu ton commentaire.

Pour ce qui est du futur CEO, si Elkann choisit à nouveau un ex-PSA ce serait décidément le dirigeant le plus nul au monde.

Par

En réponse à franck8316

Une descente en gamme permet toujours d'améliorer les ventes rien de surprenant !

   

C'est ça.

Par

Une Alfa Roméo se doit d' être une propulsion .

Par

Oh le binz !

https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-contre-speculation-la-justice-algerienne-passe-a-laction/

Par

Mais quel binz chez Stellantis !

https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-grande-panda-un-ouvrier-italien-en-serbie-devoile-les-vraies-difficultes-de-production/

Par

Comme dit l’adage pas deux sans trois (binz)…

https://www.italpassion.fr/maserati/maserati-retour-des-rumeurs-de-vente-aux-chinois-stellantis-reagit/

Par

En réponse à F18Hornet

Intéressante théorie !

Sur un autre site spécialisé, la théorie est plutôt inverse avec un scénario à la GM.

Source : l‘Automobile Magazine, article du 05.05.2025.

+++++

Fermer certaines marques est-il inévitable pour Stellantis ? Le destin d'un autre géant de l'automobile nous éclaire.

Les années 2000 et 2010 ont été très compliquées pour General Motors qui a failli mal terminer au milieu de la crise des sub primes. Le groupe américain s'en est sorti en partie grâce à un gros ménage social et à la liquidation de plusieurs marques pour alléger le groupe. Stellantis, qui est en difficulté depuis le départ de Carlos Tavares, va-t-il lui aussi se séparer de certaines filiales ?

PSA est devenu Stellantis avec Fiat-Chrysler officiellement début 2021, mais les relations entre l’ex groupe français et l’Amérique sont bien plus anciennes. A la sortie de la crise financière de 2009, déjà, PSA entamait des discussions avec General Motors. La famille Peugeot aurait alors accepté de laisser le contrôle de PSA à GM en échange d’une collaboration entre les deux groupes et d’une injection de fonds. Le transfert de pouvoir ne se fera pas. Mais les liens entre PSA et GM ne s’arrêtent pas là. Quatre ans plus tard, PSA Group valide le rachat d’Opel à General Motors. Opel qui a pourtant longtemps été l’une des marques qui faisaient les plus gros volumes pour le géant américain, bien aidé par un marché anglais accroc aux Vauxhall (la donne a changé depuis).

Mais GM, c’est aussi une succession de liquidation de marques pour réduire la voilure et tenter de limiter les pertes. Un géant aux pieds d’argile autrefois très prospère : s'il était le second groupe mondial derrière Toyota, il a depuis vu ses ventes chuter d’un bon tiers en 10 ans. Stellantis peut-il connaître le même destin ? Des similitudes existent entre le GM d’autrefois, tentaculaire et en difficulté, et un Stellantis qui a quasiment disparu d’Asie et qui se retrouve, comme beaucoup de monde, concurrencé par les constructeurs Chinois.

Supprimer des marques chez Stellantis ?

Pontiac, Oldsmobile, Saturn, Holden, Hummer et sans oublier l’épisode compliqué de Saab, la liste des disparitions de GM est longue. Mais cet écrémage était nécessaire : Opel à lui seul vendait plus de voitures que la quasi-totalité de tous ces constructeurs. Depuis le départ de Carlos Tavares et la forte baisse des marges, Stellantis songe inévitablement à alléger son portefeuille. Même si, officiellement, aucune communication n'a été faite en ce sens, l'appel à un cabinet d'analystes pour se pencher sur la santé de certains blasons italiens du groupe fait forcément douter sur la suite des événements. Ecrasé en Chine au point d’y disparaitre - seul, PSA n'avait d'ailleurs jamais réussi à s'y implanter durablement -, Stellantis ne vit plus que par l’Europe et l’Amérique. Mais même au pays de l’oncle Sam, les difficultés ont été nombreuses ces derniers mois avec des stocks persistants qu’il a fallu écouler pour éviter trop de pertes.

Le futur patron de Stellantis aura du travail. En Europe, le défi reste de faire cohabiter certaines marques dont le positionnement reste très proche, malgré tout le travail fait par chaque label pour se distinguer. En effet, comment ne pas penser à "doublon" en rapprochant Lancia, DS, Alfa Romeo, qui jouent toutes les trois la carte du chic et "sportif" ? Surtout lorsque les voitures font usages des mêmes plateformes, ce qui complique l'individualisation. Si Carlos Tavares a effectivement réussi une des plus grosses fusions de l'industrie automobile moderne - ce que l'on a tendance à omettre pour se focaliser sur sa rémunération -, ce n'est pas sans concession que cette mission a été accomplie. Trois ans durant, le dirigeant portugais n'aura juré que par la baisse des coûts de fabrication, la mutualisation et au bout de la chaine des prix de vente élevés pour les clients. De quoi rendre de premières copies très satisfaisantes sur le plan économique avec des marges colossales sur les premiers exercices comptables. Et autant de nœuds au cerveau pour son successeur pour qui la réévaluation du portefeuille de marques ne sera pas un tabou, selon les mots de John Elkann, l'actuel patron par intérim de Stellantis. Il se murmure que Wayne Griffith, l'ancien boss de Seat/Cupra, aurait le profil idéal. Mais suivra-t-il la stratégie de GM, qui ne comporte aujourd’hui plus que 4 marques (Buick, Cadillac, Chevrolet, GMC) ? Rien n'est écrit, mais tenir 14 labels dont les marchés principaux sont parfois aux antipodes reste une équation extrêmement complexe.

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Fiat est devenue la marque faible... et va finir comme Seat ? ou pire, disparaître comme oldsmobile ?

Stellantis garderait-il seulement Peugeot, Citroën, Lancia deviendrait un Cupra bis+ Alfa Romeo et Dodge Ram, Jeep ?

Exit Maserati, Ds, Opel, Fiat,(:biggrin:) Autobianchi Chrysler...

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En réponse à F18Hornet

Mais quel binz chez Stellantis !

https://www.italpassion.fr/fiat/fiat-grande-panda-un-ouvrier-italien-en-serbie-devoile-les-vraies-difficultes-de-production/

   

Cela résume bien Fiat et l'Italie.Même quand ils ont un boulevard vers une réussite,ils arrivent à merder.

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Alfa Romeo a souvent trainé (a tord ou a raison) une mauvaise réputation en terme de fiabilité (les italiennes en général)et une fois qu'un certains nombre de proprios du Junior auront des problèmes en cascades la mauvaise réputation refera surface avec des commentaires genres les italiennes c'est vraiment de la saloperie alors que la cause sera que c'est un produit dérivé de produit PSA devenu le champion de la qualité désastreuse mais la plupart ne retreindrons pas ça, ils diront juste que les italiennes c'est de la m***e et Alfa sera définitivement foutu !

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Tout ce qui a un rapport avec stellantis et donc Peugeot Citroën est à mettre à la poubelle.

De la demer comme disait Jean-Pierre Coffe.

Poubelle ces choses immondes.

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En réponse à Entouteobjectivité

Grande Stellantis, Grande Tavares.

   

:ptèdr:

Le visionnaire du siècle notre ETO.

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Pas besoin de se fatiguer à faire des voitures puissantes, luxueuses ou révolutionnaires.

Un SUV urbain, des motorisations et un prix de de caisse de roumain, une marque légendaire dans le coma et c'est gagné.

 

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