Commentaires - On n'est pas bien là, avec Blier, en DS ?

La réplique est incontestablement culte. Merci au père aussi, Bernard, deux générations de doués, c'est rare.

Depardieu qui agresse dans un train une femme ?

Pas d’actualité? Caradisiac complètement à côté de l’actualité ?

Entièrement d’accord.

Ce qui se passe dans « Les valseuses » était prémonitoire et n’a fait qu’illustrer la réalité de ce qu’est Depardieu : un type qui ne respecte pas les femmes.

Le milieu du cinéma était connu par le fait qu’il fallait « coucher pour réussir ». Sans tomber dans les excès d’un féminisme anti-homme, le temps est venu d’éduquer nos gamins pour se comporter correctement sans pour autant avoir peur d’entrer en relation avec une femme.

On est dans la nuance et donc, ce n’est pas facile.

C'est Depardieu qui a écrit le sénar ?

A l' époque, on sortait d' une époque de la France coincée un peu puritaine...

Aujourd' hui on est entré dans une époque de France non-genrée-woke qui se choque de son passé.

Perso, je me contenterais de revenir sur le côté strictement "bagnole" en approuvant le choix d' une DS plutôt qu' à peu près n' importe quoi d' autre! S' il fallait tourner un "remake", ça aurait une fadeur sans nom, avec un truc badgé DS...

Peu importe….

Juste conforme à la réalité de ce qu’est Depardieu.

Pas trop d'accord avec le fait que la couleur n'existait pas chez citroen. Pour moi, c'est le vert argenté qui a été proposé à partir de 1972 sur la ds mais surtout vu sur Dsuper, Dsuper5.

Plus trop le modèle du film en tête mais il me semble bien que c'est une Dsuper et non une DS.

Ce vert était proposé sur la SM et l'ami 8 ( comme celle de ma grand-mère) ainsi que la GS il me semble.

Blier avait tourné une dernière scène dans laquelle la direction de la DS lâche, et la voiture s'écrase dans un ravin. Finalement, le film se termine de manière plus énigmatique et ouverte...

Et bien non, faire la confusion entre le message (l'histoire) et le messager (l'acteur) est une faute. Il s'avère que la confusion tombe bien avec Depardieu, mais le mode de raisonnement pourri tout débat tant c'est malhonnête.

Il n'y a pas de "peu importe" qui tienne.

Deux ans avant les Valseuses c'était déjà le choc Orange Mécanique. Fut un temps où le cinéma montrait le monde brut et cru sans chercher à faire la leçon au spectateur. Un temps où l'art s'adressait à des adultes dotés de leur libre arbitre et esprit critique. Un temps aussi où l'on cherchait à "choquer le bourgeois" pour ébranler l'ordre établi. Un temps où la censure et la bien-pensance étaient de droite et les provocations de gauche. Le monde semble avoir viré à 180°.

https://youtu.be/8QWs6H6jixs?si=pV3gMk1bIxPLmobq