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Selon les données de l’Institut Paris Région, relayées pas nos confrères du journal Le Parisien, les embouteillages constatés en Île-de-France ont été en baisse de 9 % en mars dernier, par rapport à février.
Conséquence directe de l’augmentation des prix des carburants ou non, les bouchons en région parisienne étaient donc en baisse en mars, alors même que la tendance depuis le début de l’année 2022 était plutôt à la hausse, avec un indicateur affichant même + 16 % lors de la dernière semaine de février 2022 par rapport à mars 2020, dernier mois avant la pandémie de Covid-19 et les différentes mesures de restriction de circulation.
Selon l’Institut Paris Région : « La baisse des embouteillages en mars, factuelle, est difficile à interpréter, tant elle dépend de facteurs multiples. Mais on peut supposer que l'augmentation exceptionnelle des prix des carburants fait partie des explications. Fin mars, la fréquentation du covoiturage a atteint son plus haut niveau (hormis la période de grève SNCF/RATP de décembre 2019) depuis que les comptages existent. »
Avec une hausse de 15 % en mars par rapport à février (selon les données des plateformes de covoiturage), le covoiturage semble bel et bien un des grands gagnants de l’augmentation des prix des carburants, de nombreux automobilistes souhaitant rentabiliser au mieux leurs trajets quotidiens. Un mode de transport qui reste toutefois encore minoritaire, ne représentant que 7 000 trajets domicile-travail par jour sur les millions de Franciliens qui sont en mouvement.
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