On l'avait remarqué, le HRC ne s'en cachait plus, la RC212V est un échec cuisant. Mais à Assen, et à la veille de l'arrivée dans les box du grand boss de Honda, on a décidé de faire son acte de contrition publique du côté du blason ailé.
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Le ponte de Honda pour l'Europe, Carlo Fiorani, s'est laissé aller à une vue d'esprit qui n'a pas manqué d'enflammer les imaginations. En substance, le transalpin a déclaré : « Si Rossi ne sait pas quoi faire en 2009, il peut toujours venir courir pour Honda ».
Cette première journée du Grand Prix des Pays Bas aura été celle de toutes les douleurs pour Toni Elias. Le sociétaire du team Gresini y a en effet connu la mauvaise chute, de celle qui vous fait stopper net la saison, car synonyme de blessure rédhibitoire.
Kallio en 125, Lorenzo en 250 et Hayden en Moto GP, voilà quel avait été le verdict de la piste d'Assen l'an passé. Un verdict qui ne connaîtra peut être la stabilité que du côté du quart de litre puisque le Finlandais est monté d'un cran dans la catégorie et que l'Américain a, quant à lui, descendu plusieurs étages pour ce qui est de la performance.
Questionné sur le cas de James Toseland soumis au dilemme de poursuivre en Superbike avec un team au sommet ou sauter dans l'inconnu en Moto GP, le sympathique Texan a bien voulu son avis. Un avis autorisé puisque Colin Edwards vient d'un mondial Superbike qu'il a remporté par deux fois.
Lorsque Takeo Fukui se déplace, ce n'est jamais pour rien. Et pour cause, le personnage n'est pas n'importe qui. C'est le grand boss de Honda. Il n'était prévu au départ que pour assister au Grand Prix de France de F. 1 à Magny Cours, où les performances des monoplaces frappées de son blason sont affligeantes.
C'est un message d'alerte qu'a fait parvenir Honda sur son site. Ca n'a pas de rapport direct avec la moto mais, il se pourrait que ça touche des clients motards de la marque. Il s'agirait de « Phishing scams ».
« On ne peut pas se contenter de fermer les yeux et se dire qu'il n'y a que Honda. D'autres options sont possibles. On ne peut fermer aucune porte. » Par ses mots, Dani Pedrosa a étonné et agité le landernau du Moto GP.
En terre britannique, ce sont cette fois les 250 en lieu et place des 125 qui ont ouvert le bal de cette épreuve anglaise de tous les dangers et de toutes les surprises. Sous une pluie persistante et un tracé détrempé, deux hommes ont donné une leçon de pilotage à l'ensemble de leurs collègues, Alex De Angelis et Andréa Dovizioso.
Le circuit de Donington a démontré toute sa complexité une fois détrempé. Sa surface devient piégeuse et le manque de grip rédhibitoire. Et si, aujourd'hui, les cieux ont été cléments, rien n'est garanti pour demain.
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