Cela va très vite pour Maxime Desprey ces temps-ci. Le communiqué officiel vient de nous parvenir, Maxime va faire ses débuts en championnat du monde MX 2 en Italie puis en Allemagne pour la finale. Fort de ses deux victoires en Grande Bretagne, et la seconde en tenant Pocock derrière lui, Maxime se voit confié la 250 Kawasaki Pro-Circuit de Joël Roelants.
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Maxime Desprey n'aura pas fait dans le détail ce week-end en Grande Bretagne, il nous le confiait la semaine passée dans une interview ici même, « donner le meilleur de moi-même », c'est ce qu'il a fait à Matterley Basin en remportant les deux courses.
A Matterley Basin, Joël Roelants victime d'un gros crash ne prend pas le départ des courses. À la maison Tommy Searle ne laisse personne virer en tête, il est suivi de Herlings, les deux pilotes Bud Racing sont juste là derrière, il y a la Suzuki de Julien Lieber, voila qui fait plaisir de voir du jaune devant.
Le nouveau Ninja ne serait-il pas étanche ? C'est du moins ce que semble croire le NHTSA qui n'aime pas l'approximation ni ne joue avec le principe de précaution. Pour l'organisme, les 4 170 ZX-10R recensés vont devoir repasser par les concessions afin de régler cette maligne fuite d'huile suintant du carter.
A l'issue de la quatrième manche, sur les cinq que compte le championnat du monde d'endurance millésime 2012, sur le circuit allemand d'Oschersleben, le S. E. R. T. signe une nouvelle victoire, confortant ainsi sa position de leader au classement général.
Il ne fait pas le moindre doute que la conjoncture économique liée à une répression routière aussi féroce pour l'usager citoyen que fructueuse pour l'Etat impôt a donné un sérieux coup de frein au marché des sportives sous nos latitudes. On pourrait presque parler d'euthanasie.
Le mieux est parfois l'ennemi du bien, et dans le cas de la GT du constructeur Kawasaki, l'adage semble se vérifier. Preuve en est, cette campagne de rappel dont il fait l'objet à cause d'un élément de protection qui s'avère au final problématique. Voire dangereux. De quoi s'agît-il ?
Plus que des vidéos voici des moments historiques à se repasser en boucle ! Trois victoires françaises en Grande Bretagne, dont un doublé tricolore, ce n'est pas si souvent que la vitesse moto française s'est ainsi payée la part du gâteau.
On en aura eu au moins une de Marseillaise à Silverstone ce dimanche ! Et quelle Marseillaise puisqu'on la doit à un Loris Baz qui, du haut de ses 19 ans a donné la leçon à toute l'élite de la catégorie dans des conditions dantesques que n'aurait pas boudé un vieux briscard.
Sous une pluie toujours présente, Tom Sykes a de nouveau montré toute sa vélocité avec sa Kawasaki en s'inscrivant en haut de la feuille des temps de la seconde séance qualificative. Le Britannique au Ninja a même amélioré sa prestation de la veille qui lui avait déjà donné les commandes du peloton, tandis que son plus proche rival ce matin aura été John Hopkins.
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