4. Première tendance fiabilité et bilan
Le DS 7 est globalement un bon élève, mais il n’est pas exempt de certains défauts. Par exemple, le moteur 1.5 BlueHDi a connu des soucis de la chaîne qui relie les deux arbres à cames, elle se détend et peut rompre. Cette chaîne a été modifiée, mais si des bruits mécaniques suspects apparaissent, il faut impérativement couper le moteur. Le groupe Stellantis a mis en place une grille de prise en charge pour cette avarie. Les exemplaires en annonces étant très récents et peu kilométrés, la totalité sera prise en compte.
Concernant l’urée (AdBlue) qui se fige dans le réservoir, avec comme conséquence l’impossibilité de le remplir, les choses semblent être rentrées dans l’ordre. En revanche, les utilisateurs se plaignent toujours du système d’infodivertissement dont la réactivité est insuffisante et les bugs présents. Enfin, les versions hybrides rechargeables présentent une bonne tranquillité d’utilisation.
Bilan : un DS 7 ne fait pas l’autre
Sur le marché de l’occasion, tous les DS 7 n’ont pas la même décote. La « meilleure affaire » demeure la version la plus haut de gamme forte de 360 ch. Cependant, elle nécessite un budget confortable. À l’inverse, l’entrée de gamme avec le moteur diesel se révèle presque aussi intéressante. Les tarifs demandés sont plus raisonnables, mais ce type de mécanique est de moins en moins couru.
Il reste alors le milieu de gamme, c’est-à-dire les DS 7 hybrides rechargeables de 225 ch. Une version intéressante et certainement la plus homogène, qui permettra de faire des économies d’usage, à condition de le brancher chaque jour. En revanche, c’est celle qui affiche la décote la moins élevée.
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