À l’Ouest encore du nouveau ! Dans le domaine du rétro, le côté Atlantique du pays nous assure toujours un débarquement de surprises dans un flot d’émotion dont la vague va submerger les salles des enchères. Vous avez aimé les véhicules découverts sous un hangar dans les Deux-Sèvres en décembre 2014 ? Alors vous allez adorer le trésor dormant dans une fermette abandonnée à Cléguérec dans le Morbihan.
Au fait des fais divers aux Etats-Unis, dans l’œil du cyclone de par le monde, les affaires judiciaires de Volkswagen étaient jusque-là assez calmes dans notre verte contrée. Une indulgence providentielle pour le constructeur de Wolfsburg ? Voire ! Car depuis quelques jours, on serait tenté de dire que ce calme précédait la tempête. Du côté du département de l’Aisne, les actions individuelles ont commencé. Mais il y a maintenant les conclusions d’une répression de fraudes qui cloue la marque au pilori tandis qu’une information judiciaire s’est ouverte.
Volkswagen contre le reste du monde. C’est la situation du constructeur qui doit faire face sur tout ce que compte la planète en marché automobile au scandale de ses moteurs diesels truqués. Ceci par le biais d’un logiciel indulgent sur les émissions polluantes. L’actualité de la marque de Wolfsburg se déroule depuis aussi dans les tribunaux. Ceux des Etats-Unis sont particulièrement redoutés du fait des puissantes actions collectives. En France, la situation fait que l’on monte au front en ordre dispersé. Avec toutes les chances d’être haché menu.
Il faut s’en persuader, Paris en 2020 ne ressemblera pas vraiment à la capitale actuelle. Il y aura des engins surfant sur la Seine, des minibus autonomes et une circulation expurgée autant que faire se peut de sa circulation automobile. Les projets pour la place de l’Opéra en ce sens n’étaient que des éléments précurseurs à une offensive plus vaste. Car on apprend aujourd’hui que ce ne sont pas moins de sept places qui vont entrer en lutte contre les déplacements en voiture.
Notre époque est particulière et elle nous amène à une vigilance de tous les instants une fois sorti de notre pré carré. Une mobilisation d’autant plus difficile qu’elle ne doit pas pour autant nous faire sombrer dans la paranoïa. Une conjoncture qui se retrouve sur le bord même de la route où la solidarité peut vite tourner à la spoliation. A ce titre, une technique semble en vogue ces derniers temps : le vol par ruse appelée « au pneu crevé ».
Voilà une nouvelle qui montre combien il faut être vigilant sur les communiqués des entreprises et des industries lorsqu’il s’agit de parler emploi. Alors que le 20 février dernier, Michelin assurait non seulement qu’il n’y aurait pas de licenciements parmi son personnel mais, qu’en plus, 1 000 effectifs supplémentaires étaient prévus, ce sont 494 postes que le même bibendum ferme à Clermont-Ferrand. Contradiction ? Tout est question d’interprétation.
Recalée ! La nouvelle épreuve du code de la route n’a même pas encore eu l’occasion d’être mise en œuvre que la voilà en constat d’échec. En cause, ces nouvelles questions à intégrer dans l’examen, 1 000 interrogations supplémentaires à proposer aux candidats dès le 18 avril prochain. Une échéance bien trop proche clame un Conseil national des professions de l'automobile (CNPA) qui appelle à la manifestation lundi prochain.
Dans un secteur parisien du transport à la personne déjà en ébullition, voici une nouvelle proposition qui sera une concurrence de plus à des taxis et autres chauffeurs VTC à couteaux tirés. Il s’agit du minibus autonome qui fait certes déjà son œuvre du côté de La Rochelle pour des petits trajets. Mais à Paris, on est plus ambitieux. On s’est même fixé une échéance : 2020. Ce qui est déjà demain.
Chose promise, chose due ! Renault avait annoncé il y a quelques jours de nouvelles embauches sur le territoire national en contrat de travail à durée indéterminée. Un besoin se chiffrant à 1 000 effectifs, un cap symbolique tandis que les comptes du losange confirment une santé retrouvée. Les premiers recrutements sont lancés puisque le constructeur tricolore recrute près de 400 CDI pour ses usines françaises.
Il y a quelques jours, Renault faisait sensation en promettant l’embauche de 1 000 salariés en CDI sur un territoire national sinistré dans le domaine de l’emploi. Une bonne nouvelle synonyme de bonne santé pour l’entreprise au losange. Aujourd’hui, on apprend que ce ne sera pas la seule entreprise tricolore à embaucher dans la même proportion. Ainsi, le manufacturier Michelin.