Les conditions du dépistage des stupéfiants sur la route ont changé. C’est une conséquence de l’entrée en vigueur de la loi n°2016-41 dite « de modernisation de notre système de santé ». En attendant la mise en place, un jour, de tests électroniques, c’est une évolution qui va permettre aux forces de l’ordre d’être plus réactives pour constater cette conduite addictive qui pèse de plus en plus lourd dans la comptabilité macabre de la mortalité routière.
Au moment où les statistiques sortent pour mieux identifier quelles sont les voitures les plus volées dans l’hexagone, il est un autre indicateur qui nous apprend beaucoup sur la manière dont les délinquants accomplissent leur larcin. Si, autrefois, l’effraction et la violence physique étaient l’avers et le revers du vol, il suffit à présent d’une souris pour être fait comme un rat.
Dans une automobile de plus en plus connectée qui roule doucement mais sûrement vers son autonomie, les enjeux de demain se situent moins dans les parties mécaniques que dans la sphère électronique. L’occasion d’ouvrir de nouvelles voies de développement naguère laissées pour compte. Comme, bientôt, on nous promet que l’on n’aura plus rien à faire une fois embarqué dans sa voiture intelligente, il s’agit de penser à notre confort. Voire même à notre bien-être. Une idée que Renault envisage de pousser jusqu’au paroxysme.
La commission technique créée à la suite du scandale du diesel chez Volkswagen continue son ouvrage en s’invitant chez les constructeurs. Ceci afin de passer au peigne fin leur gamme roulant au diesel et ainsi établir un état des lieux sur les émissions polluantes de ses véhicules. Après Renault, c’est au tour de Mercedes d’être passé au crible. Si le Captur et l’Espace ont fait douter chez le losange, il semblerait que ce soit la Classe S qui pose question sous l’étoile.
Il n’est pas une nouveauté qu’en matière de délinquance, l’Île de France n’est malheureusement pas épargnée. Les malveillants trouvent là matière à s’émanciper et la chose automobile est une cible qui n’est pas oubliée. Il y a peu, on a eu droit à un trafic de carte grise sur des véhicules accidentés remis en circulation sous le sceau d’experts peu recommandables. Aujourd’hui, c’est une fraude au permis de conduire qui a été mise à jour.
La mortalité routière ne faiblit pas, bien au contraire. Pourtant, les mesures pleuvent et nos gouvernants s’en remettent au Dieu radar pour inverser une courbe. Pourtant, les indicateurs s’accordent pour signaler que cette triste progression puise en grande partie sa progression dans celle du taux d’alcoolémie de celui qui cause le drame sur la route. Alors que faire ? La Sécurité routière a pensé à une vidéo parlant des victimes collatérales.
Les syndicats des taxis nous préviennent. Mardi 26 janvier, ils seront dans la rue. Et l’ambiance sera plus chaude qu’en juin 2015, au moment d’une manifestation contre l’application UberPop de l’enseigne Uber. UberPop a depuis disparu mais les raisons de la colère des taxis sont toujours d’actualité. Leur ressentiment contre les Véhicules de Transport avec Chauffeurs est vivace. Et ce n’est pas une ressente décision du Conseil Constitutionnel qui va les amadouer.
Un accident mortel sur la route relève-t-il de la fatalité ? Entre comportements individuels, effets mécaniques et configuration des lieux, il est autant d’éléments à analyser qui laissent à penser que lorsque la grande faucheuse s’emploie, elle ne s’impose pas, mais s’invite. Pour comprendre et éviter autant que faire se peut de passer de vie à trépas en étant dans une voiture, voici la typologie de l’accident-type.
Conduire une voiture sera peut-être demain aussi une question de génération. La réglementation a déjà identifié les jeunes conducteurs au moyen d’un logo « A » ostentatoire à l’arrière du véhicule. De l’autre côté de la pyramide des âges, certains ont pensé à coller un « S » statutaire au même endroit de l’automobile. Une lettre qui veut dire sénior. Mais si les jeunes conjuguent leur « A » avec des dispositions particulières au code de la route, le « S » lui ne sera en rien contraignant pour nos aînés. Il ne faudrait pas non lui ouvrir la boîte de Pandore !
Lorsque le groupe Bolloré s’est lancé dans l’aventure de la propulsion électrique il y a déjà 22 ans, c’était un grand saut dans l’inconnu. A l’époque, rien n’assurait à cette enseigne française impliquée dans la logistique, les transports, les médias ou l’énergie le succès d’une batterie lithium-métal-polymère (LMP) qui a nécessité au total 3 milliards d’euros d’investissement. Mais le pari a été gagnant. A tel point qu’après des voitures appelées Bluecar, ce sont des bus baptisés Bluebus qui vont arpenter les avenues des grandes villes.