
Pour peu on l’interpréterait comme un signe. Du genre, ce n’est pas parce que l’on est une association qui demande à la justice de se prononcer sur un doute portant sur l’honnêteté d’un groupe automobile que, forcément, on sort du tribunal plus riche que l’on en est entré. Cette récente décision tribunal correctionnel de Paris sonne comme un cessez le feu. Même si une hirondelle ne fait pas le printemps, la General Motors est soulagée.