Si l’on regarde la prestation de Maverick Viñales lors des tests de Jerez, on constate sa fidélité aux avant-postes marquée par une quatrième place. C’est mieux que son équipier Rossi. Mais sur lorsqu’il faut tourner en configuration course plutôt que de claquer un chrono sur un tour, les deux pilotes Yamaha sont ensemble et à l’unisson pour demander plus de travail à la marque aux diapasons…
Toute l'actualité Moto GP
Les premiers tests de l’intersaison 2019 de MotoGP sont terminés. Les hostilités reprendront à présent en février prochain. Une période que les ingénieurs des constructeurs engagés mettront à profit pour travailler sur les données récoltées pour finaliser leur machine en vue de la prochaine saison. Un sujet plus sensible chez Yamaha qu’ailleurs. Car le constructeur d’Iwata ne peut pas se permettre de connaître une nouvelle prestation décevante comme celle des deux dernières années…
Fabio Quartararo a fait le boulot à Jerez sur une Yamaha qu’il découvre en même temps que le MotoGP. L’équipier de Morbidelli a en effet terminé ses tests de Jerez à moins d’une seconde du meilleur chrono. Bon douzième, il part profiter de sa trêve hivernale avec un moral au beau fixe. Rendez-vous à présent en février, du côté de Sepang !
Johann Zarco en a terminé avec ses premiers tests de l’intersaison 2019. Des exercices passés à découvrir une KTM qui ne sera pas simple à cerner. Bien moins docile qu’une Yamaha, la machine autrichienne a englué e Français au fond du classement. Il finit ses essais à 1.9 secondes de la tête des opérations. Soit bien trop loin. Mais le tricolore se veut tout de même rassurant avant de profiter d’une trêve hivernale qui durera jusqu’en février prochain…
Fabio Quartararo continue son solide apprentissage de la Yamaha et du MotoGP. Le Français d’un peu plus de 19 ans avait effectué des préliminaires à Valence et le voilà maintenant à Jerez pour de nouveaux essais. Le premier des deux jours dédiés s’est arrêté à la seizième place, à un peu plus d’une seconde du leader Petrucci sur Ducati. Pas si mal. Surtout lorsque l’on pointe devant un certain Valentino Rossi !
Le MotoGP effectue ces derniers deux jours de test en vue de la saison 2019. C’est à Jerez que se passe cet événement qui, une fois terminé, ouvrira la période d’une trêve hivernale qui se prolongera jusqu’en février prochain. L’entame de l’exercice a été marquée par une domination Ducati. Un festival qui s’est déroulé à 2,2 secondes d’une Johann Zarco seulement 19e avec sa nouvelle KTM…
L’ère de la moto électrique débute et la compétition n’y échappe pas. En Grand Prix, il y aura même une catégorie dédiée : la MotoE. Une moto unique et italienne Energica, des batteries et aucun bruit. Le plateau est constitué et il est assez disparate avec des anciennes gloires mêlées à des jeunes. Mike Di Meglio, comme Randy De Puniet seront de la partie. Et après les premiers tests, c’est le Champion du Monde 125 qui nous met au courant de son avis éclairé sur une catégorie qui le branche assez.
C’est un Fabio Quartararo heureux qui faisait le bilan de ses tests de Valence. Un tournant dans sa carrière puisque c’était les premiers tours de roues avec une MotoGP. En l’occurrence une Yamaha, qui se révèle définitivement comme la moto à mettre entre toutes les mains. La preuve, le Français a été celui qui, au terme des deux jours a enregistré la plus forte progression !
Johann Zarco a commencé sa nouvelle vie de pilote officiel KTM. Une entame matérialisée lors de deux jours de tests à Valence. Et ça n’a pas été simple. Deux chutes et un classement dans les profondeurs de la feuille des temps, il est clair qu’entre le Français et la moto autrichienne, il va falloir un temps d’adaptation. Justement, il y aura d’autres essais, la semaine prochaine, à Jerez…
C’est une donnée qui intéresse tous les organisateurs de manifestation sportive et ceux des Grands Prix MotoGP en particulier. Il s’agit de l’affluence, de la popularité de leur événement. Un élément clé dans un secteur ouvert à la concurrence. Car le calendrier des Grands Prix est riche de dix-neuf rendez-vous. Dont à présent quatre en outre-mer. D’autres pays frappent à la porte de l’organisateur Dorna qui est en position de force pour négocier. Il faut donc prouver sa légitimité. Et Le Grand Prix de France vient de le faire.