2. Toyota Proace City - Sur la route : un très bon comportement
Choix multiples pour les motorisations. Il y a même une essence ! En l’occurrence le 1,2 litre de 110 chevaux. Mais le gros des troupes est décliné autour du 1,5 litre Diesel proposé en 75, 100 et 130 chevaux. Notre modèle d’essai était équipé du 100 chevaux couplé à une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. Correct, sans plus. À l’aise en zones urbaines comme sur route, il pêche tout de même sur les relances. Les rapports longs de la boîte pénalisent les reprises et rendent nécessaire de jouer fréquemment du levier de vitesses. Et comme cette boîte se révèle relativement accrocheuse, l’agrément n’est pas maximal… Ces relances apportent aussi du bruit moteur, un peu grognon et un peu de cliquetis. Contreparties de ces (relatifs) désagréments, la consommation reste contenue. Un peu plus de 6 litres lors de cet essai. C’est tout à fait correct, même si cela reste un peu supérieur aux 5,4 litres WLTP annoncés par la marque. Encore faut-il souligner que notre Proace City était vide. Chargé, la consommation doit grimper et le ressenti général doit devenir un brin agaçant.
Le comportement routier ne souffre en revanche d’aucune critique. Il est même de premier ordre avec une stabilité exemplaire. La position de conduite est confortable, avec un bon maintien et une bonne vision de la route. Les inconforts routiers sont bien filtrés.Le Proace City est aussi disponible avec la boîte automatique à 8 rapports, l’EAT 8 de PSA, mais uniquement avec la motorisation haute de 130 chevaux. Cette même motorisation peut également être couplée à la boîte manuelle à six rapports. Le 75 chevaux, comme le 100 chevaux, n’est proposé qu’avec la boîte mécanique à cinq vitesses.
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