2. Volkswagen T-Roc (2022) - Sur route : de la stabilité
Alors que l’on aurait pu penser que Volkswagen allait saisir l'occasion de ce restyling pour introduire de l’hybridation sur son SUV (légère ou complète), ce n’est pas le cas puisque la marque allemande reste fidèle aux moteurs présents auparavant. La gamme se compose donc de trois essence (110, 150 et 300 ch pour le T-Roc R, la version sportive) et deux diesel (TDI 115 ch et TDI 150 ch).
Aujourd’hui pour cet essai, nous avons choisi la version la plus vendue à savoir le TSI 150 ch couplé à la boîte à double embrayage DSG. Cette association est bien connue puisqu’elle équipe de nombreux modèles du groupe qu’ils soient badgés Audi, Skoda ou Seat. Avec ses 250 Nm, ce quatre cylindres fait preuve d'une bonne aisance dans la plupart des circonstances. Il faut noter toutefois quelques égarements de la part de la boite DSG avec des lenteurs sur les changements de rapports en conduite dynamique. Les accélérations sont toniques tout en étant relativement linéaires. Le T-Roc ainsi pourvu est un bon compagnon de voyage aussi à sa place en ville que sur autoroute. Grâce à son système de désactivation des cylindres, qui en coupe deux, lorsque celui-ci est moins sollicité, on arrive tout de même à une consommation 8,5l/100 km.
Cet agrément d’utilisation, le T-Roc le doit aussi à son comportement plaisant, qui fait preuve d’un bon compromis entre confort et dynamisme. Les mouvements de caisse sont plutôt bien maîtrisés, même si un peu de roulis apparaît quand le rythme augmente. La direction est bien paramétrée et le freinage est tout à fait satisfaisant.Le confort est bon même si on constate un amortissement ferme en raison des jantes 18 pouces de série sur la finition R-Line.
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