La perfection engendrerait-elle l’ennui ? On peut en effet reprocher à la Tourer - comme à la berline - de sembler légèrement insipide, de procurer trop peu de sensations de conduite, voire une ambiance intérieure - ultra clean - qui manque d’originalité. Mais pas grand-chose d’autre, si ce n’est le choix du niveau d’équipement imposé ou l’absence provisoire de diesel. Dans un segment où cette énergie représente 76 % des ventes en Europe, la Tourer ne va pas réaliser d’énormes volumes en 2003. Si la nouvelle motorisation gazolée prévue en fin d’année, un 2.2 litres d’environ 155 ch, brille autant que les mécaniques à essence actuelles, on en reparlera...
Note Caradisiac : ****
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