Valentino Rossi est un véritable champion sur la piste. C'est un fait établi et connu dans le monde entier, mais peu de gens connaissent les grandes compétences entrepreneuriales dont le pilote de Tavullia fait preuve, créant ainsi un véritable empire autour de lui.
Le championnat de France des Rallyes Routiers reprend du service pour 2019 avec six épreuves. Les Cévennes ouvrent le bal le 23 mars prochain avec des grilles qui affichent complet. En catégorie reine Julien Toniutti sera absent, son dauphin Bruno Schiltz sera l'homme à battre…
Cinq catégories, plus de 180 pilotes, le championnat de France de Supermotard affiche pour 2019 huit épreuves dont une dans les Landes sur le circuit d'Escource. Le premier round se disputera les 23 et 24 mars.
Les passerelles entre les sports mécaniques semblent prendre des allures de viaduc. On sait que Valentino Rossi franchit depuis longtemps les deux frontières. Jorge Lorenzo a fait un tour dans la Mercedes de Formule 1, Dovizioso a couru sur une Lamborghini, Marc Marquez a découvert une Red Bull F1 et Lewis Hamilton rêve de grimper sur une MotoGP. Quant à Casey Stoner…
La saison 2019 du MotoGP est lancé. Mais ce ne sera pas le seul départ qui réjouira les fans. Milestone et Dorna préviennent en effet de l’arrivée du jeu vidéo MotoGP19.
En ce début de saison, l’usine Ducati fait décidément beaucoup parler d’elle. En MotoGP, elle gagne, mais son initiative dans le domaine aérodynamique a provoqué l’ire de quatre marques qui ont déposé une réclamation. Aprilia, KTM, Suzuki et Honda ont mis en pointillé la victoire de Dovizioso. Mais en Superbike, la firme de Borgo Panigale énerve aussi l’adversité en se montrant trop empressée de gagner. Ainsi, la Panigale V4R vient de remporter son sixième succès en six courses, piétinant ainsi le jardin de Kawasaki. Qui est vert de rage…
Si le premier Grand Prix de l’année, au Qatar, a beaucoup ressemblé, dans son final, à celui de l‘an passé, avec un duel entre Dovizioso et Marquez, pour d’autres les années se suivent et ne se ressemblent guère. Il en est ainsi team Tech3, aux avant-postes en 2018 avec Yamaha et dans la seconde partie du peloton avec KTM en 2019. Mais l’histoire ne fait que commencer…
Les Grands Prix voulaient ajouter une catégorie dédiée aux motos électriques en plus de leurs disciplines Moto3, Moto2 et MotoGP réunissant des machines roulant avec un moteur thermique. Ils ont mis sur pied le MotoE, dont le peloton était composé d’engins venant d’un modèle d’une seule marque. En l’occurrence Energica. Hélas, tout est parti en fumée du côté de Jerez où les protagonistes faisaient des tests. Tout est à reconstruire. L’enquête est en cours et elle s’oriente sur une borne de rechargement défectueuse. Energica n’y est donc pour rien.
C’est par l’Automobile Club de l’Ouest que nous apprenons cette triste nouvelle. À 58 ans Bertrand Sébileau, vainqueur des 24 Heures Motos 1998 et 1999 avec Kawasaki, nous a quitté.
Ce sont des investigations qui vont être suivies de près à l’heure où les machines électriques vont faire florès dans le garage des habitations. La MotoE devait être la discipline des Grands Prix faisant entrer le sport moto de haut niveau dans l’ère de l’électrique. Une démarche historique qui devait aussi ouvrir un marché vers lequel l’automobile va déjà à marche forcée. Mais pour le moment, la catégorie pose question sur la sécurité de ces engins. Un incendie a nuitamment ravagé toutes les motos et les structures. Les organisateurs jurent qu’ils vont renaître de leurs cendres. Certes, mais la moto électrique est-elle dangereuse ?
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