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Commentaires - 24 heurs et malheurs du Mans : la boucle mancelle à hauteur d'homme

Michel Holtz

24 heurs et malheurs du Mans : la boucle mancelle à hauteur d'homme

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Pierre Levegh est considéré comme l'une des personnes responsables de l'accident tragique survenu lors des 24 Heures du Mans en 1955. Levegh, de son vrai nom Pierre Eugène Alfred Bouillon, était un pilote automobile français qui conduisait une Mercedes-Benz 300 SLR lors de cette course.

L'accident s'est produit le 11 juin 1955 lorsque la Mercedes de Levegh a été impliquée dans une collision avec une autre voiture. En conséquence, la Mercedes a été projetée dans les tribunes, provoquant la mort de Levegh ainsi que de 83 spectateurs, et en blessant gravement plus de 100 autres. La responsabilité de l'accident a été partagée entre plusieurs facteurs. L'état des infrastructures du circuit, qui ne répondait pas aux normes de sécurité modernes, a été critiqué. De plus, la conception de la Mercedes-Benz 300 SLR a été remise en question, car elle utilisait un réservoir de carburant en aluminium qui s'est rapidement désintégré lors de l'impact, provoquant un incendie dévastateur.

Cependant, la conduite de Levegh a également été critiquée. Il a été rapporté qu'il avait tenté de dépasser une autre voiture à grande vitesse, ce qui aurait conduit à la collision initiale. Certains experts estiment que Levegh aurait pu éviter l'accident ou du moins en minimiser les conséquences s'il avait pris des décisions différentes dans les moments critiques.

Il est important de noter que les accidents sur les circuits automobiles impliquent souvent une combinaison de facteurs, et dans le cas de l'accident des 24 Heures du Mans en 1955, plusieurs éléments ont contribué à la tragédie.

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Magnifique ouvrage, et une pensée pour mon grand-père, ayant participé 3 fois avec ses prototypes :lover:

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Pour l'accident tragique de 1955, un excellent résumé sur Wiki :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Accident_des_24_Heures_du_Mans_1955?wprov=sfti1

Par

En réponse à integralhf

Magnifique ouvrage, et une pensée pour mon grand-père, ayant participé 3 fois avec ses prototypes :lover:

   

Du coup, préfères-tu qu'on t'appelle Papamadit ou Pépémadit ?

Par

La magie de l'endurance : Que ce soit sur 2 ou 4 roues, des milliers de tragédies, de joie et d'aventures humaines depuis des décennies. Et l'aventure des courses de 24 heures continue et continuera encore longtemps.

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Par

La façon dont les courses se déroulaient à l'époque et les conditions de sécurité ne seraient plus acceptées aujourd'hui.

Cette magnifique évocation de la grande époque des courses automobiles fait référence à des accidents, à des morts, à des drames, à des évènements tragiques.

C'est la tragédie qui façonne la légende. Ce sont les morts et leur sacrifice qui édifient les glorieuses statues à la mémoire du sport automobile.

A l'époque, les pilotes étaient des seigneurs, des gladiateurs qui acceptaient ce risque insensé et fou de mourir en course, parfois dans des conditions atroces.

C'est ce mélange de courage et de folie qui faisait leur grandeur.

Aujourd'hui, on se préoccupe de savoir si les pilotes auront trop chaud, on déclenche le safety car pour le moindre accrochage, on vérifie si les moteurs ne sont pas trop polluants, on modifie la catégorie proto pour pas que ça coûte trop cher, on s'offusque de l'absence de parité homme/femme, on pénalise un pilote qui prendrait trop de risques...etc

En fait, on est devenus cons.

Par

En réponse à franpir21

La façon dont les courses se déroulaient à l'époque et les conditions de sécurité ne seraient plus acceptées aujourd'hui.

Cette magnifique évocation de la grande époque des courses automobiles fait référence à des accidents, à des morts, à des drames, à des évènements tragiques.

C'est la tragédie qui façonne la légende. Ce sont les morts et leur sacrifice qui édifient les glorieuses statues à la mémoire du sport automobile.

A l'époque, les pilotes étaient des seigneurs, des gladiateurs qui acceptaient ce risque insensé et fou de mourir en course, parfois dans des conditions atroces.

C'est ce mélange de courage et de folie qui faisait leur grandeur.

Aujourd'hui, on se préoccupe de savoir si les pilotes auront trop chaud, on déclenche le safety car pour le moindre accrochage, on vérifie si les moteurs ne sont pas trop polluants, on modifie la catégorie proto pour pas que ça coûte trop cher, on s'offusque de l'absence de parité homme/femme, on pénalise un pilote qui prendrait trop de risques...etc

En fait, on est devenus cons.

   

Ah bon ? On est devenu con, parce qu’il y a moins de morts?

Revenons au bon vieux temps des gladiateurs, où le sang coulait et le peuple était satisfait…

Par

En réponse à franpir21

La façon dont les courses se déroulaient à l'époque et les conditions de sécurité ne seraient plus acceptées aujourd'hui.

Cette magnifique évocation de la grande époque des courses automobiles fait référence à des accidents, à des morts, à des drames, à des évènements tragiques.

C'est la tragédie qui façonne la légende. Ce sont les morts et leur sacrifice qui édifient les glorieuses statues à la mémoire du sport automobile.

A l'époque, les pilotes étaient des seigneurs, des gladiateurs qui acceptaient ce risque insensé et fou de mourir en course, parfois dans des conditions atroces.

C'est ce mélange de courage et de folie qui faisait leur grandeur.

Aujourd'hui, on se préoccupe de savoir si les pilotes auront trop chaud, on déclenche le safety car pour le moindre accrochage, on vérifie si les moteurs ne sont pas trop polluants, on modifie la catégorie proto pour pas que ça coûte trop cher, on s'offusque de l'absence de parité homme/femme, on pénalise un pilote qui prendrait trop de risques...etc

En fait, on est devenus cons.

   

Parle pour toi.

Franchement, l'histoire du belge qui va se suicider et celle des 84 morts et 122 blessés là c'est quand même pas très drôle.

Par

En réponse à SF90

Ah bon ? On est devenu con, parce qu’il y a moins de morts?

Revenons au bon vieux temps des gladiateurs, où le sang coulait et le peuple était satisfait…

   

Commentaire totalement débile.

Les gladiateurs étaient des esclaves, condamnés à une mort certaine.

Un pilote automobile fait un CHOIX. Celui de vivre sa passion, avec des risques qu'il assume.

Mais on peut comprendre que l'immense majorité des gens préfèrent vivre comme des mollusques...

 

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