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Commentaires - Un documentaire évoque le tuning fast and furious sans être furious

Michel Holtz

Un documentaire évoque le tuning fast and furious sans être furious

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Par

Kevin dans cette discipline..ça sonne bien

Par

A noter que dans le Tyrol italien, la langue officielle est l'allemand. La majorité des gens sont de langue maternelle allemande. Pour y avoir été, si l'on parle italien, la plupart des gens répondent en allemand.

Par

En réponse à SF90

A noter que dans le Tyrol italien, la langue officielle est l'allemand. La majorité des gens sont de langue maternelle allemande. Pour y avoir été, si l'on parle italien, la plupart des gens répondent en allemand.

   

Normal, le Tyrol du Sud a toujours appartenu à l’Autriche jusqu’en 1918. La population est autrichienne ou plutôt tyrolienne à la base, donc on parle l’allemand.

C’est en novembre 1918, à la suite des accords d'armistice conclu avec l'Italie et le traité de Saint-Germain entre les puissances victorieuses de la première Guerre mondiale et la nouvelle République d'Autriche, que le Tyrol du Sud est passé du côté italien en 1919.

C’est en octobre 1922 que 700 fascistes italiens se sont rendus à Bolzano et ont occupé l'hôtel de ville sous les yeux des forces de police, qui ne sont pas intervenus. C’est avec la prise du pouvoir de Benito Mussolini, que la phase d'italianisation de la population a commencé pour les tyroliens du sud, en faisant migrer en masse des italiens (plus de 56.000) dans la région nouvellement acquise.

Depuis les tyroliens ont toujours combattu cette « invasion » jusqu’aux accords d’autonomie législative et administrative de la province qui vont bien au-delà des compétences d’une région au statut normal en Italie.

L'autonomie du Tyrol du Sud découle des principes de la protection ethnique des minorités, fondée sur l'existence d'un groupe de population germanophone et d'un groupe de population de langue ladine sur le territoire italien.

Par

Baboulinet reste coincé dans la fin 90's/2000's voilà ce que je retiens de cet article

Par

En réponse à F18Hornet

Normal, le Tyrol du Sud a toujours appartenu à l’Autriche jusqu’en 1918. La population est autrichienne ou plutôt tyrolienne à la base, donc on parle l’allemand.

C’est en novembre 1918, à la suite des accords d'armistice conclu avec l'Italie et le traité de Saint-Germain entre les puissances victorieuses de la première Guerre mondiale et la nouvelle République d'Autriche, que le Tyrol du Sud est passé du côté italien en 1919.

C’est en octobre 1922 que 700 fascistes italiens se sont rendus à Bolzano et ont occupé l'hôtel de ville sous les yeux des forces de police, qui ne sont pas intervenus. C’est avec la prise du pouvoir de Benito Mussolini, que la phase d'italianisation de la population a commencé pour les tyroliens du sud, en faisant migrer en masse des italiens (plus de 56.000) dans la région nouvellement acquise.

Depuis les tyroliens ont toujours combattu cette « invasion » jusqu’aux accords d’autonomie législative et administrative de la province qui vont bien au-delà des compétences d’une région au statut normal en Italie.

L'autonomie du Tyrol du Sud découle des principes de la protection ethnique des minorités, fondée sur l'existence d'un groupe de population germanophone et d'un groupe de population de langue ladine sur le territoire italien.

   

:bien: Merci de ces précisions historiques.

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Par

En réponse à Le Cheetah

:bien: Merci de ces précisions historiques.

   

:ange:

I.A. ?

Par

En réponse à Ma6TvaKraquer

Baboulinet reste coincé dans la fin 90's/2000's voilà ce que je retiens de cet article

   

Jamais conduit une vieille Impreza à moteur boxer ?

:bah::bah::bah:

Par

En réponse à F18Hornet

Normal, le Tyrol du Sud a toujours appartenu à l’Autriche jusqu’en 1918. La population est autrichienne ou plutôt tyrolienne à la base, donc on parle l’allemand.

C’est en novembre 1918, à la suite des accords d'armistice conclu avec l'Italie et le traité de Saint-Germain entre les puissances victorieuses de la première Guerre mondiale et la nouvelle République d'Autriche, que le Tyrol du Sud est passé du côté italien en 1919.

C’est en octobre 1922 que 700 fascistes italiens se sont rendus à Bolzano et ont occupé l'hôtel de ville sous les yeux des forces de police, qui ne sont pas intervenus. C’est avec la prise du pouvoir de Benito Mussolini, que la phase d'italianisation de la population a commencé pour les tyroliens du sud, en faisant migrer en masse des italiens (plus de 56.000) dans la région nouvellement acquise.

Depuis les tyroliens ont toujours combattu cette « invasion » jusqu’aux accords d’autonomie législative et administrative de la province qui vont bien au-delà des compétences d’une région au statut normal en Italie.

L'autonomie du Tyrol du Sud découle des principes de la protection ethnique des minorités, fondée sur l'existence d'un groupe de population germanophone et d'un groupe de population de langue ladine sur le territoire italien.

   

C'est vrai que les frontières italiennes possèdent des aménagements.

Trentin-Haut-Adige : Autonomie, langues (allemand/italien).

Frioul-Vénétie Julienne : Autonomie, langues (frioulan, slovène, italien).

Vallée d’Aoste : Autonomie, langues (français/italien).

Sicile : Autonomie (fiscalité, santé, éducation).

Sardaigne : Statut spécial, contrôle sur la fiscalité et la culture.

C'est vrai q la première à manqué le coche lors de son implication zélée durant la WW2. Il était difficile de justifier un rattachement aux Autrichiens à nouveau.

Par

En réponse à F18Hornet

Normal, le Tyrol du Sud a toujours appartenu à l’Autriche jusqu’en 1918. La population est autrichienne ou plutôt tyrolienne à la base, donc on parle l’allemand.

C’est en novembre 1918, à la suite des accords d'armistice conclu avec l'Italie et le traité de Saint-Germain entre les puissances victorieuses de la première Guerre mondiale et la nouvelle République d'Autriche, que le Tyrol du Sud est passé du côté italien en 1919.

C’est en octobre 1922 que 700 fascistes italiens se sont rendus à Bolzano et ont occupé l'hôtel de ville sous les yeux des forces de police, qui ne sont pas intervenus. C’est avec la prise du pouvoir de Benito Mussolini, que la phase d'italianisation de la population a commencé pour les tyroliens du sud, en faisant migrer en masse des italiens (plus de 56.000) dans la région nouvellement acquise.

Depuis les tyroliens ont toujours combattu cette « invasion » jusqu’aux accords d’autonomie législative et administrative de la province qui vont bien au-delà des compétences d’une région au statut normal en Italie.

L'autonomie du Tyrol du Sud découle des principes de la protection ethnique des minorités, fondée sur l'existence d'un groupe de population germanophone et d'un groupe de population de langue ladine sur le territoire italien.

   

Enfin un commentaire d’intérêt public qui ne se veut pas malveillant ou condescendant.

Perso j’en retiens un décor de carte postale, de superbes routes de montagne adaptées pour les quelques GT-R présentées.

Par

En réponse à Sage Centenaire

Enfin un commentaire d’intérêt public qui ne se veut pas malveillant ou condescendant.

Perso j’en retiens un décor de carte postale, de superbes routes de montagne adaptées pour les quelques GT-R présentées.

   

Il est vrai que le Tyrol du Sud offre beaucoup plus que ces quelques fans de bolides tunés à la sauce japonaise !

On peut y passer de très bons moments, entre les montagnes féeriques (Marmolata, Drei Zinnen, Schlern, Tofana, Ortler, Rosengarten, Kronplatz, etc) et les vallées verdoyantes qui invitent à la randonnée (Vinschgau, Pustertal, Eisascktal, Meraner Land, Fischleintal, etc), en passant par les cols de montagne (Reschenpass, Stilfser Joch, Jauffenpass, Grödner Joch, Sella Joch) leurs panoramas pour les sorties motorisés. De plus la région possède une hôtellerie avec un rapport prix/prestations très intéressant, pratiquement tous les hôtels 4* ou plus possèdent un grand SPA et offrent une cuisine de qualité. Bref une très belle région sûre avec une population accueillante.

Pour le ski, le Tyrol du Nord est un peu mieux adapté avec des pistes plus intéressantes (Zillertal, Stubaital, Ötztal, Paznaun, Kitzbühel, St. Anton am Arlberg, Serfaus-Fiss-Ladis) et des remontées mécaniques plus modernes.

Par

En réponse à F18Hornet

Il est vrai que le Tyrol du Sud offre beaucoup plus que ces quelques fans de bolides tunés à la sauce japonaise !

On peut y passer de très bons moments, entre les montagnes féeriques (Marmolata, Drei Zinnen, Schlern, Tofana, Ortler, Rosengarten, Kronplatz, etc) et les vallées verdoyantes qui invitent à la randonnée (Vinschgau, Pustertal, Eisascktal, Meraner Land, Fischleintal, etc), en passant par les cols de montagne (Reschenpass, Stilfser Joch, Jauffenpass, Grödner Joch, Sella Joch) leurs panoramas pour les sorties motorisés. De plus la région possède une hôtellerie avec un rapport prix/prestations très intéressant, pratiquement tous les hôtels 4* ou plus possèdent un grand SPA et offrent une cuisine de qualité. Bref une très belle région sûre avec une population accueillante.

Pour le ski, le Tyrol du Nord est un peu mieux adapté avec des pistes plus intéressantes (Zillertal, Stubaital, Ötztal, Paznaun, Kitzbühel, St. Anton am Arlberg, Serfaus-Fiss-Ladis) et des remontées mécaniques plus modernes.

   

:ange:

I.A. ?

Par

En réponse à SF90

:ange:

I.A. ?

   

Ça t’en bouche un coin de voir qu’il existe des personnes qui s’intéressent à l’histoire et qui connaissent bien une région déterminée hein ?

Pas grave, un jour tu sortiras aussi de ta région avec ou sans I.A. …

 

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