
Si du côté du Superbike, la stabilité est de mise pour ce qui est de la gestion des pilotes, en Moto GP, c'est tout le contraire qui prime. Depuis que Casey Stoner a fait son coup de calgon, la gesticulation n'a pas cessé chez Ducati qui a débauché Kallio de chez Pramac, approché sans succès Lorenzo et Pedrosa, trouvé Espargaro pour mieux le mettre sur la touche lorsque celui-ci s'est trouvé en position de menacer le guidon du compatriote Canepa.