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En Moto GP, encore moins qu'ailleurs, il ne vaut mieux pas avoir des signes de faiblesse sous peine de se voir vite jeté aux oubliettes. La preuve avec cette nouvelle qui, sans nul doute, va avoir des effets roboratifs sur l'avant bras de notre O. J, déchiqueté après une chute aux essais du Grand Prix de Chine.

L'objectif que lui avait assigné Kawasaki était de terminer huitième, et c'est exactement ce qu'il a fait. Reste que le Français ambitionnait une sixième position qu'il détenait jusqu'au dernier tiers de la course. Avant que Capirossi et Vermeulen ne remontent sur lui et le passent.

C'est un Randy De Puniet gonflé à bloc qui prendra le départ du Grand Prix de Chine demain. Après s'être qualifié en septième position, égalant par là sa meilleure place conquise dans l'exercice, notre Gaulois sent qu'il en a encore sous la semelle.

C'est un sale coup qui a frappé notre O. J national lors de la seconde séance d'essai libre du Grand Prix de Chine. Le sociétaire de l'écurie Kawasaki a été victime d'une chute, qui, de prime abord a semblé sans gravité, mais qui, au bilan le contraint à déclarer forfait pour le reste du meeting.

Depuis l'été dernier, on savait que Kawasaki allait nous sortir un 450 KLX , c'est désormais chose faite. La nouvelle de la gamme doit arriver chez les concessionnaires ce mois-ci. Comme on pouvait s'y attendre, les ingénieurs ne sont pas allés bien loin. C'est en fait une 450 KXF à peine modifiée.

Qui n'a pas le souvenir de l'iconique Kawasaki Z 1300 ? Un roadster de 322 kilos honorant la fin des années 70 de son six cylindres l'amenant à la vitesse subsonique pour son châssis et son freinage de 225 km/h. Un vrai morceau de bravoure sorti là de l'usine d'Akashi, comme un goût de défi à la raison.

Les mécaniques auront à peine le temps de refroidir du tour d'horloge sarthois, qu'elles vont déjà prendre leurs quartiers sur le circuit d'Albacete en Espagne. Pour une course de 06h00 qui comptera comme la deuxième étape du Championnat du Monde d'Endurance.

Le Grand Prix de Turquie a été riche en rebondissements, et même en polémiques. Un qui ne s'est pas posé de questions sur sa responsabilité, c'est notre Olivier Jacque, tout contrit de sa responsabilité de ce désastre effeuillé sous vos yeux.

Un envol à la limite de l'acceptable pour un début de course englué dans le peloton, Randy a une nouvelle fois payé une mise en route laborieuse. Sauf que cette fois, son équipier, mieux parti, O. J, a fait bien involontairement le ménage devant lui, pour l'autoriser à une belle remontée qui l'amènera à son meilleur résultat dans la catégorie reine : la huitième position.

Après un bon départ, O. J pensait bien réaliser une de ses « Jack Attack » dont il a le secret à l'entame d'une courbe où tout le peloton s'était retrouvé en paquet après que l'erreur de Rossi peu avant l'ait compacté brutalement. Malheureusement, cette fois, ça n'est pas passé.