Il y a seulement deux semaines à Jerez, Valentino Rossi éprouvait les pires difficultés et commençait à craindre pour la suite de sa saison. Le voilà au Grand Prix de France et second sur la grille de départ derrière son équipier Viñales au guidon d'une Yamaha retrouvée. Les choses tournent vite en MotoGP.
Il a vacillé, mais il n'a pas craqué. Manquant l'entrée directe en Q. 2 à cause d'une chute lors de la FP3, Johann Zarco s'est montré solide pour faire face à ses responsabilités lors des qualifications.
On l'a rêvé et Johann Zarco l'a fait. Notre Français double Champion du Monde de Moto2 qui effectue sa première année en MotoGP avec les compatriotes de Tech3 a parcouru, au Mans, la moitié du chemin vers la gloire. L'objectif avoué est le podium final et pour y arriver, il faut avoir fait une bonne qualification.
C'est un dispositif spécial qui est mis en place sur nos chaînes de télévision à l'occasion du Grand Prix de France de MotoGP. Et qui dit France dit aussi France Télévisions qui fait l'effort pour nous sensibiliser sur l'événement du Mans. Avec cette cerise sur le gâteau : un reportage sur l'incontournable Valentino Rossi.
Le Vietnam n'est plus cette contrée lointaine associée à une longue guerre du siècle dernier que tout le monde connaît. L'évocation est devenue pays émergent et les constructeurs s'y pressent pour y présenter un savoir-faire qui dépasse le simple fait utilitaire. Le signe d'un marché en devenir.
Ce week-end, c'est le Grand Prix de France moto au Mans. Une édition qui sera spécial cette année puisque l'on y espérera un Français sur le podium de la catégorie reine, le MotoGP. Ce serait une première depuis un certain Randy De Puniet en 2009 en Grande Bretagne.
Le GMT94 vous donne rendez-vous à Carole début juin pour une journée piste réservée aux propriétaires de Yamaha. Si vous avez une Yam cubant plus de 300 cm3 et que vous êtes libre le mardi 6 juin prochain à vous la journée piste organisée par Yamaha et l'équipe d'Endurance du GMT94.
C'est un Valentino Rosi bien loin de sa domination de l'an passé à Jerez et assez éloigné des belles dispositions vues au dernier Grand Prix des Amériques qui en a fini avec son Grand Prix d'Espagne.
En quatre Grands Prix, Maverick Viñales a connu deux joies immenses et deux profondes déceptions. Ces dernières ont été consécutives. Un doublé au terme des deux courses entamant le championnat puis une chute et cette sixième place à Jerez.
Yamaha a failli boire le bouillon à Jerez. Manqué seulement en effet. Car si n'a pas été tout à fait le cas malgré des pilotes officiels en perdition ayant maille à partir avec leurs pneus en fin de course, c'est grâce à un Johann Zarco qui avait fait un choix de gommes différent au guidon d'une M1 version 2016.
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