
Que d'émotions ! La dernière course GP250 de l'histoire des Grands Prix aura tout été sauf ennuyeuse, et ce grâce à ses protagonistes qui n'ont pas joué les épiciers. Ainsi, Hiroshi Aoyama aurait pu se contenter d'observer les débats et contrôler son rival Simoncelli, mais au lieu de ça, il a crânement accepté le combat.