Le nouveau cabriolet de Volkswagen dispose d’une offre de motorisations très large. De l’économique à l’athlétique. Nous avons pris en main le plus sobre d’entre eux, le TDI 105 ch associé à la boîte DSG7. Un diesel discret qui supporte tout juste le surpoids de cette déclinaison cabriolet (+100 kg) grâce à son couple honorable (250 Nm). La boîte DSG7 qui l’accompagne est un modèle d’agrément qui optimise les taux d’émissions et de consommation (neutre au malus). Ici, la Cox privilégie l’économie à la performance. Notre test sur les hauteurs de Nice nous aura coûté une moyenne de 5l/100 km. Fort heureusement, le constructeur propose d’autres motorisations comme le 1.4 TSI 160 ch qui correspondent nettement plus à la philosophie de la coccinelle. Ce moteur à essence suralimenté brille par son élasticité et son punch. Le choix le plus judicieux pour animer l’allemande.
Volkswagen a choisi de chouchouter sa clientèle en dotant la Coccinelle d’un train arrière multibras de série. Bien plus performant que le train classique semi-rigide qui équipe la berline (disponible uniquement sur les motorisations puissantes), il offre en prime un amortissement de qualité. L’enlèvement du toit a été compensé efficacement par l’arrivée de plusieurs renforts spécifiques. La rigidité nous a semblé bonne et les vibrations très bien compensées, mais avec le TDi 105 ch difficile de pousser le châssis dans ses derniers retranchements. A rythme de sénateur, l’allemande est un modèle de confort : la direction est douce, l’amortissement de qualité et l’insonorisation de la capote très efficace. En revanche une fois découverte, la coccinelle gère passablement les flux d’air. On vous recommande vivement le filet anti-remous (250 €) si vous pratiquez les grands axes.
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