4. Notre avis sur la Citroën Ami Buggy

Même si le créneau des voitures sans permis 100 % électrique se développe peu à peu, l’Ami Buggy se connaît très peu de rivales directes. La seule qui joue presque aussi franchement la carte de la baroudeuse se trouve chez Aixam et est commercialisée sous le nom de e-Scouty Evo. Mais sa gamme de tarif débute à 13 499 €, bien loin des 9 590 € de la Citroën. Si l’on élargit l’offre à des modèles à la présentation plus conventionnelle, sachez que, toujours chez Aixam, on trouve les e-Minauto (à partir de 10 899 €) et le e-Crossover Premium (dès 19 499 €). Autre acteur majeur de ce marché, Ligier propose les versions électriques des MyLi et JS50 (respectivement à partir de 14 199 € et 15 699 €). Mais la rivale la plus sérieuse de la Citroën, c’est, sans aucun doute, son clone italien, la Fiat Topolino (à partir de 9 890 €) dont la variante Dolcevita se passe également de portes et dispose d’un toit ouvrant en toile.
Aucune raison d’être raisonnable
Il y a deux façons d’appréhender une voiture aussi unique et originale que l’Ami Buggy. Objectivement, il est difficile de lui trouver de réelles qualités hormis son gabarit on ne peut plus adapté aux centres urbains et son prix compétitif. Subjectivement, on peut craquer pour ce concept, mélange de 2 CV et de Mini Moke, parfaitement inutile et, donc, complètement indispensable.
Caradisiac a aimé
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Le concept totalement décalé
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Le toit ouvrant en toile, dans le pur esprit 2 CV
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La présentation colorée avec le pack Palmeira
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Le gabarit, idéal en ville
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L’autonomie suffisante au quotidien
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Le prix modéré
Caradisiac n'a pas aimé
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Le surcoût important par rapport à la version "standard"
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L’inconfort
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La sensation d’insécurité due à l’absence de portes
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Le freinage, trop peu mordant
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