
Pas de cadeau pour Nakano. Un malheureux Shinya qui a tant démontré chez Kawasaki pour qui il a écrit les premières lettres de son histoire en Moto GP. Un vice champion du monde 250 qui pensait bien enfin cette fois retrouver une moto à la mesure de son talent, une machine conçue et couvée par un premier constructeur mondial qui se plante rarement.