Mike Di Meglio a été l'auteur d'une solide prestation lors de ce Grand Prix de Chine 125 disputé dans des conditions on ne peut plus difficiles, soit sous la pluie. La seule course du meeting à s'être ainsi déroulée sur piste détrempée, et qui a bien sûr réservé son lot de surprises.
André Lecondé
Lui écrireNeuvième et second des Honda en qualification , Randy de Puniet avait de quoi tirer son épingle du jeu dans ce Grand Prix de Chine, qui malheureusement, aura été une nouvelle déception après la chute du Portugal. La faute, une fois encore, à un envol raté qui l'a plongé au coeur d'un peloton de furieux dont Hopkins n'était pas le moins virulent.
Chez Honda, on a passé le cap chinois dans la plus grande discrétion. De cet effacement qui sied bien au travail de fond qui a porté ses fruits sous la forme d'une belle seconde place pour un Pedrosa qui a contesté la victoire à Rossi jusqu'à trois tours de l'arrivée.
Ce n'est pas tant la troisième place qui contrarie Casey Stoner au soir de ce Grand Prix de Chine. C'est le grand écart qui le sépare des deux protagonistes de cette course. De quoi être frustré puisque l'Australien avait décidé en dernière minute de modifier ses réglages. Comme d'ailleurs Rossi.
Dire que Jorge Lorenzo fait figure de miraculé au sortir de ce Grand Prix de Chine relève de l'euphémisme. Un monumental carton le Vendredi lors des essais, une cheville cassée et le reste en compote, on pense logiquement au forfait pour l'Espagnol à l'issue de ce coup du sort.
Valentino a ainsi mis fin à Shanghai à huit mois de disette. Sept courses sans la moindre victoire, si bien que celle là, il la savoure. A plus d'un titre. Et justement, puisque l'on parle de celui-ci, Rossi prévient ses adversaires : « J'ai enfin pu piloter comme je veux du début jusqu'à la fin.
Pour les essoreurs de poignée, mordus de sportives, accros au Moto GP et infusés au Superbike, voilà qu'Ixon se propose de vous prêter main forte en enveloppant les vôtres de sa nouvelle paire de gants modestement baptisée RS King.
La bagagerie, ce n'est pas seulement le kit moulé en matière dernier cri qui n'a rien du toc et dont l'originalité chic des attaches dispute celle de l'ergonomie de choc. Il y aussi le genre intemporel, tout droit venu du temps lointain de la conquête d'une nouvelle frontière arpentée à dos de canasson.
Avec l'arrivée des beaux jours la coquetterie veut que l'on conjugue son style avec son environnement. Bien que la gente féminine soit dotée d'une source d'inspiration intarissable, voici néanmoins quelques idées à associer pour être en phase avec la saison.
C'est fait ! Après sept Grands Prix sans victoire, Valentino Rossi ouvre de nouveau son compteur en signant sur un tracé de Shanghai asséché sa soixante troisième concrétisations dans la catégorie reine et son quatre vingt neuvième succès absolu.