
Dès le 30 décembre la nouvelle s'était répandue sans jamais avoir été depuis démentie par les principaux intéressés. Un silence lourd de signification de la part d'un constructeur d'Akashi qui semble être passé maître dans l'art de se prendre les pieds dans le tapis, tant au niveau de la gestion sportive et politique que dans le domaine de la communication.